Étaient présent-es : M. Barthélèmy (IA-DASEN), M. Monlun (Secrétaire Général), M. Artaud (IENA), l’ensemble des IEN (sauf IEN ASH ), Mmes Berton-Pain et Librero (Doses), 7 FSU-CGT Educ’Action, 4 FO, 4 UNSA.

La FSU-SNUipp fait partie de la délégation FSU-CGT Educ’Action. La délégation FSU-CGT Educ’Action est la délégation majoritaire avec 5 élu-es sur 10.

Note d’ambiance : Ce CSA-SD carte scolaire s’est déroulé dans une atmosphère cordiale et studieuse. 10 postes ont été ouverts. Ce CSA était aussi l’occasion d’accueillir Mme Vial, nouvelle IEN de Poitiers Ouest et M. Sureaud, nouvel IEN de Poitiers Sud.

Déclaration liminaire

Lors de sa déclaration liminaire que vous retrouverez en intégralité à la fin de ce compte rendu, la FSU-CGT Educ’Action a porté les thématiques suivantes :

  • l’instabilité politique actuelle
  • le mouvement départemental et ses problèmes d’affectation
  • les évaluations nationales du CP au CM2 – lien vers l’article
  • les besoins d’ouvertures de nombreuses écoles au regard des effectifs
  • les besoins de remplaçant-es, de RASED, de places en établissements spécialisés
  • les besoins d’autres écoles qui ne dépendent pas des effectifs, mais d’un climat scolaire “complexe”

Réponses du DASEN : 

En amont des déclarations, l’IA-Dasen avait indiqué que M. Vial, secrétaire général d’académie, ferait l’intérim de la fonction de recteur en attendant une nomination. Il a aussi indiqué que la rentrée était selon lui plus efficace que certaines antérieures.

Suite aux déclarations liminaires, l’IA-DASEN a indiqué  :

  • Recrutement : Il y aurait encore 3 PES non affecté-es donc avec les ouvertures, il y aura une  possibilité de leur offrir une affectation (déjà 59 PES accueilli-es). Le rectorat a encore la possibilité de recruter 10 personnels : listes complémentaires ou contractuel-les. Les années précédentes, toutes les ouvertures de septembre étaient occupées par des remplaçant-es, baissant ainsi le vivier, ce sera moins le cas cette année.  Pour la FSU-SNUipp 86, au regard du nombre de remplaçant-es déjà affecté-es totalement ou partiellement à l’année sur nombre de postes, les problèmes de remplacement se reproduiront à l’identique des années précédentes.
  • Rased : il ne serait pas selon lui possible de recruter des collègues ADR (pas de collègues certifié-es et volontaires), mais cela sera possible pour des psychologues scolaires. Pour la FSU-SNUipp 86, il y a surtout la nécessité d’encourager et d’amplifier grandement le départ en formation en ASH, et plus particulièrement en ADR, pour couvrir les postes. Concernant les collègues PSY, il y a urgence d’un recrutement à hauteur des besoins, pour parvenir à un PsyEN pour 800 élèves.
  • Directions vacantes : Il indique qu’une seule direction était restée non pourvue à la rentrée : Civray. Il indique qu’au regard du contexte, une décharge plus importante a été attribuée. Pour la FSU-SNUipp 86, le bilan des directions vacantes est bien plus important que cela, cela a d’ailleurs donné lieu à des fusions provisoires (Mirebeau, Poitiers Neruda), et cela sans compter les demandes de révisions d’affectation d’office sur une direction qui ont été refusées par l’inspection.
  • Evaluations nationales : Il ne partage pas la remarque faite en introduction par la FSU-SNUipp 86 sur “évaluations nationales et liberté pédagogique”. Il indique utiliser souvent les résultats des évaluations pour connaître les besoins des élèves, qui lui servent à faire des comparaisons académiques ou nationales. Il indique que c’est pour lui un levier de pilotage : d’aide en fonction du territoire, notamment envers le territoire rural… Pour la FSU-SNUipp 86, au-delà des chiffres que recensent les évaluations, pour connaître les besoins des élèves, c’est aux enseignant-es qu’il faut faire confiance !!! Quant à l’aide apportée aux collègues dans les écoles ayant des résultats en dessous de la moyenne, peu d’écoles ont vu des moyens ou du temps libéré supplémentaires pour leur permettre de réfléchir collectivement à la transformation en profondeur des résultats des élèves. A travers un communiqué, le SUI–FSU (Syndicat Unitaire de l’Inspection pédagogique) soutient la mobilisation des syndicats qui s’opposent à la passation des évaluations nationales standardisées. « Ces évaluations telles qu’elles sont conçues, ne sont qu’un outil de pilotage par les chiffres qui privilégie le savoir de quelques attendus au détriment des savoir émancipateurs », indique le syndicat qui appelle les inspecteurs « à n’exercer aucune pression sur les personnels des écoles qui s’engagent dans le boycott ». (lien)
  • Formation : l’IA indique que ce 29 août, une centaine de PE ont pu travailler sur la démarche Singapour, et que cela a été apprécié. Pour la FSU-SNUipp, il est évident que l’occasion d’éviter 9h de temps de réunions, formations sur des soirées ou des mercredis après-midis, et cela malgré la qualité de ces animations, est appréciée ! La FSU-SNUipp réclame la réouverture du chantier des 108 heures et, plus globalement, du temps de travail des professeur-es des écoles.

Choix d’ouvertures de l’IA

L’IA indique qu’il lui reste pour cette phase d’ajustement 6,2 moyens en définitif et 4 moyens provisoires (pris sur les moyens RASED G ADR “gelés” pour 1 an sur les circos de Lencloître, Châtellerault, Poitiers Nord et Poitiers Ouest).

Retrouvez l’ensemble des mesures issues de ce CSA sur ce lien :

La FSU-CGT Educ’action a voté pour ces décisions. 9 classes ont été ouvertes (dont 8 défendues par la FSU-SNUipp 86), 1 poste de CPC Poitiers sud créé et des décharges de direction exceptionnelles ajoutées. Nous ne pouvions que voter pour, même si pour nous, plusieurs situations restent problématiques notamment sur le remplacement, l’inclusion, les postes Rased ou certaines écoles (Poitiers Tony mat, St Maurice , Bonneuil Matours…).

  • Pour :  8 (5 FSU-CGT Educ’action + 3 UNSA)
  • Abstention : 0
  • Contre : 2 (FNEC-FP-FO)

La FSU-CGT Educ’Action a défendu tous les dossiers qui avaient été portés à sa connaissance. 

Questions diverses de la FSU-CGT Educ’Action

Évaluation direction 

C’est une nouveauté de cette rentrée 2024 : une nouvelle évaluation, déconnectée des entretiens de carrière et de l’évaluation d’école, l’évaluation des directeurs et directrices. Faisant suite à la publication de la Loi Rilhac, la circulaire relative à l’évaluation des directrices et directeurs d’école est parue le 11 avril dernier. Le décret du 14 août 2023 relatif à la loi Rilhac impose une évaluation spécifique des directrices et des directeurs. Celle-ci aura lieu 3 ans après la première prise de poste puis chaque 5 ans.  Retrouvez notre article sur les évaluations : https://snuipp86.fr/index.php/2024/05/27/evaluation-des-directrices-et-directeurs-decole-parution-de-la-circulaire-dapplication/

De nombreux collègues ont déjà reçu la notification d’évaluation pour cette année 2024/25. y compris celles et ceux qui avaient déjà un rendez-vous PPCR prévu  cette année scolaire. Pourtant, la circulaire du 20/03/24 précise que dans ce cas, la visite d’évaluation « direction » doit être repoussée d’un an pour ne pas pénaliser l’agent-e dans son avancement.

M. Artaud précise, suite à notre étonnement, que l’évaluation “direction” sera bien repoussée en cas de PPCR comme prévu par la circulaire. L’administration ajoute qu’elle sera bien attentive à ce que l’entretien PPCR et l’évaluation d’école ne puissent tomber au même moment dans l’année.

Si vous êtes concerné-es, contactez-nous !

La FSU-SNUipp conteste la différence de traitement entre adjoint-es et directeur-trices, qui tend à isoler ces derniers de l’équipe enseignante. Pour la FSU-SNUipp, la seule évaluation importante qui est à effectuer pour la direction d’école, c’est celle des besoins que nos collègues réclament pour effectuer leurs missions dans de bonnes conditions pour l’intérêt des élèves et des écoles ! Et là le compte n’y est pas !!! Les directeur-trices ne ménagent ni leur temps ni leur énergie pour favoriser le travail des équipes pédagogiques, accueillir au mieux les familles et favoriser la réussite de tous les élèves. Malgré quelques avancées, leur travail reste complexe et parfois difficile tant ils-elles manquent de temps et de moyens pour se consacrer pleinement aux élèves et à l’animation de leur école. Il y a urgence à une simplification administrative, une formation initiale et continue de qualité mais surtout la mise à disposition d’une aide administrative et l’augmentation des temps de décharge, particulièrement pour les petites écoles.

Éducation prioritaire : coordination de Poitiers 

Lors de la CAPD du 4 juillet, M. Artaud avait expliqué que le poste de coordination éducation prioritaire sur Poitiers Sud, qui n’avait fait sujet d’aucun appel à candidatures,  devrait être présenté à la rentrée avec potentiellement des modifications en lien avec la coordination REP de Poitiers Est.

M. Artaud confirme cela et explique qu’il n’y aura plus qu’un seul poste de coordo Educ Prio sur Poitiers, la fiche de poste devrait être publiée ce mercredi.

Pour la FSU-SNUipp 86, l’éducation prioritaire est un enjeu de société, qui se retrouve de plus en plus à l’abandon face à un public au contexte social et économique de plus en plus dégradé. Dans cette école qui évolue, le travail en équipe et la formation de collectif inter établissements sont devenus une clé indispensable, que cela soit en éducation prioritaire ou en secteur rural d’ailleurs, et il est nécessaire d’augmenter le temps de coordination et de dégager du temps aux acteur-trices de terrain pour le faire vivre. 

 

Effectifs de la Vienne et recrutements 

Lors de la CAPD de juillet, M. Monlun indiquait un déficit annoncé pour la Vienne concernant les professeur-es des écoles, et depuis, 10 collègues ont été recrutés par liste complémentaire.

10 personnels supplémentaires vont être recrutés, entre liste complémentaire (max 4) et contractuel-les (minimum 6).

Une campagne de recrutement des PSY-EDA est également en cours.

Inclusion : élèves en attente de place en ESMS ? 

Lors de la CAPD de juillet, l’IA-Dasen avait annoncé que plus de 80 élèves étaient en attente de places en IME et ITEP. C’est toujours le cas et ces élèves se retrouvent cette année sans soins : maintien en grande section avec AESH, intégration dans un dispositif ULIS, intégration dans une Unité D’enseignement Autisme, instructions à la maison… M. Monlun précise que, potentiellement, des admissions seront possibles jusqu’en janvier 2025….

Suite à la demande de la FSU-SNUipp 86 en CAPD de juillet, l’IA avait accepté l’idée que tout collègue en classe ordinaire accueillant un de ces élèves puisse bénéficier d’une formation sur temps classe. L’IENA avait indiqué que les “brigades formation continue” pourraient être sollicitées. La FSU-SNUipp incite l’ensemble des collègues dans cette situation à écrire à leur circo, avec copie à la FSU-SNUipp 86, pour demander à en bénéficier. 

 

AESH et pause méridienne ? 

La loi n°2024-475 du 27 mai 2024 met à la charge de l’État l’accompagnement des élèves en situation de handicap durant le temps de pause méridienne dans les écoles et établissements scolaires publics et privés sous contrat. L’objectif est de favoriser la continuité de l’accompagnement des élèves et leur accès au service de restauration scolaire. Les conditions de cette prise en charge par l’État pour l’année 2024-2025 sont précisées dans la note de service du 24 juillet 2024. L’intervention des AESH durant le temps de pause méridienne nécessite la conclusion préalable d’une convention entre l’État et la commune (ou l’EPCI) dans le 1er degré.

Le texte précise qu’il est possible de recenser localement les AESH volontaires pour travailler sur la pause méridienne. Une priorité peut être aussi accordée aux AESH qui sont déjà sous contrat avec une collectivité territoriale pour assurer un accompagnement sur la pause méridienne.

L’administration indique que pour les AESH cela est effectivement sur la base du volontariat et que les informations doivent être remontées aux IEN : besoins pour les élèves et demandes des AESH.

Pour la FSU cette mesure présentée comme un levier pour augmenter la quotité de travail des AESH ne bénéficiera qu’à celles et ceux qui exercent à proximité d’un service de restauration scolaire accueillant un ou des élèves en situation de handicap. La perspective d’une journée continue dans les conditions de travail actuelles ne constitue pas non plus une amélioration.

Le temps de travail reste l’un des principaux enjeux de l’amélioration des conditions d’emploi des AESH. La FSU continue de revendiquer un temps de travail dérogatoire basé sur des obligations réglementaires de service de 24 heures d’accompagnement + 3 heures connexes (formation, préparations, concertation, réunions…) par semaine, reconnues comme un temps complet.

 

CAPD de rentrée 

Des collègues ont fait des demandes tardives de temps partiel de droit, l’une d’elle a reçu en réponse de la part de la DPE5 qu’une CAPD recours se tiendrait à la rentrée. M. Monlun va se renseigner…

Informations diverses 

Changement de circonscriptions

L’IA-Dasen souhaite mener un groupe de travail pour modifier les circonscriptions.

Les axes de travail suivants sont annoncés :

  • l’éducation prioritaire de Poitiers serait réunie dans une seule circonscription (Poitiers Est)
  • le “civraisien” pourrait revenir dans Poitiers Sud
  • faire en sorte que la majorité des EPCI (établissement public de coopération intercommunale),  ne soient pas à cheval sur plusieurs circonscriptions,  sauf pour ceux de Grand poitiers et Grand Châtellerault

Un premier groupe de travail se tiendra le jeudi 26 septembre. Les travaux menés doivent se terminer en novembre. Fidèle à ses principes, la FSU-SNUipp 86 consultera la profession pour porter au plus près la parole du terrain.

 

CASNAV 

Le CASNAV est le Centre académique pour la scolarisation des élèves allophones nouvellement arrivés et des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs. Mme Paquet, IEN partie à la retraite, assurait cette mission l’année dernière.

Madame Meyer, IEN école inclusive, sera en charge de la mission cette année.

ISSR

Suite à l’alerte de la FSU-SNUipp 86, M. Monlun a indiqué découvrir que les collègues remplaçant-es n’avaient pas touché leurs ISSR de juin et juillet. Si vous êtes dans cette situation, continuez à vous faire connaître en écrivant à dpe5@ac-poitiers.fr + copie à snu86@snuipp.fr

 

Avancement accéléré des directeur-trices

Les textes prévoient qu’à partir du 1er septembre 2023, chaque année d’exercice permet de raccourcir de 3 mois la durée dans l’échelon actuel pour accéder au suivant. Cela s’applique à tous les directeurs et toutes les directrices d’école, quel que soit le nombre de classes, y compris les classes uniques.

L’administration indique que c’est en attente d’un outil informatique permettant de le faire…

 

Déclaration liminaire complète du FSU-CGT Educ’Action

Monsieur l’Inspecteur d’Académie,

Mesdames et Messieurs les membres du CSA de la Vienne,

La délégation FSU/CGT Educ’Action souhaite la bienvenue aux nouveaux membres de ce CSA.

Une nouvelle année scolaire a commencé et avec elle son lot d’incertitudes. Pour citer Pline l’Ancien, osons dire qu’en cette rentrée, “la seule certitude, c’est que rien n’est certain”. Nous évoquions déjà l’an passé le fossé qui semblait s’être creusé entre les personnels des écoles et le discours gouvernemental. Force est de constater, cette année, que l’absence de stabilité amplifie l’inquiétude des personnels. Quel sort sera réservé à l’école publique?

Au-delà des interrogations sur la situation politique, les collègues font encore face à des problèmes pratiques. En effet, le mouvement a eu son lot de mauvaises surprises et a pris un retard inédit pour de nombreux collègues et stagiaires encore sans poste en cette pré-rentrée. De façon pragmatique, comment envisager la rentrée scolaire dans une école où la direction n’est pas nommée ? Depuis la loi de transformation de la fonction publique, nous n’avons cessé de réclamer le retour d’un fonctionnement commun avec vos services. Lors des nombreuses années où le paritarisme était en vigueur, jamais une telle situation ne s’est produite. La FSU/CGT Educ’Action réitère aujourd’hui sa volonté de travailler avec l’administration. Elle sait pouvoir apporter son expertise, sa connaissance du terrain, des équipes, des situations d’école et des collègues pour travailler en lien avec les services.

Nous le savons, les opérations de mouvement représentent un moment décisif pour les écoles. Les personnels administratifs en charge de ce dossier devraient pouvoir compter sur une équipe plus nombreuse pour faire face à ce travail colossal. Les personnels des écoles déjà soumis à des risques psycho-sociaux importants ont subi et continuent à subir un stress accru dû à ces retards et atermoiements.

Lors de sa conférence de rentrée, Madame la Ministre Nicole Belloubet insistait sur la nécessité de, je cite, “faire confiance aux enseignants”, et évoque une “libération des initiatives pédagogiques”, en dehors de notre système “trop dirigiste”. Dans ce sens, la FSU/CGT Educ’Action réitère sa volonté de boycotter les évaluations nationales qui dépossèdent les collègues de leur professionnalité.

Le CSA d’aujourd’hui se tient pour acter les ouvertures de rentrée. Si la FSU/CGT Educ’Action se satisfait qu’aucune fermeture ne puisse y être prononcée, elle continue de regretter qu’un CSA d’ajustement ne se soit pas tenu au mois de juin car certaines des situations que nous évoquerons étaient déjà identifiées avant les vacances : Leugny/St Remy/Buxeuil, Ceaux en Loudun, Ingrandes élémentaire, St Genest d’Ambière et Sommières.

D’autres situations sont également apparues depuis : Nouaillé élémentaire, Migné Desnos élémentaire et maternelle, Vouillé maternelle, Tony Lainé maternelle, Boivre la Vallée, Availles Limouzine et Lusignan maternelle.

Au-delà des effectifs importants de certaines écoles, d’autres situations nous semblent préoccupantes pour cette année. Tout d’abord, la situation des élèves sans place en établissements spécialisés malgré une notification et qui ne vont pas bénéficier des soins et de l’enseignement adapté auxquels ils ont droit. Ce manque de places aura des conséquences importantes pour eux et pour les écoles qui les accueillent. Les postes de RASED non pourvus ne feront qu’accroître l’impossible équation entre la nécessité de bien inclure et les moyens réellement accordés. Malgré les besoins croissants, le nombre de remplaçant-es n’a pas évolué depuis l’année dernière, nous menant inévitablement vers une année noire comme nous l’avons vécue. Enfin, certaines situations d’écoles bien connues des IEN, comme Civray ou Poitiers Micromégas par exemple, devraient disposer de moyens humains en plus de façon pérenne.

 

pour la FSU/CGT Educ’action : Emilie Bordes, Sophie Bordes, Julie Coussay, Frédérique Delage, Emilie Guénand, Apolline Letowski, Julien Massé.